- EAN13
- 9782356622808
- Éditeur
- Le Mercure Dauphinois
- Date de publication
- 21/12/2020
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Martinès de Pasqually et Jean-Baptiste Willermoz
Vie, doctrine et pratiques théurgiques de l'Ordre des Chevaliers Maçons
Jean-Marc Vivenza
Le Mercure Dauphinois
L’histoire de la relation qui s’est établie entre Jean-Baptiste Willermoz
(1730-1824) et Martinès de Pasqually (+ 1774) débute en avril 1767, année où
les deux hommes vont se rencontrer, lors de la réception dans l’Ordre des Élus
Coëns du futur fondateur du « Régime Écossais Rectifié », époque où « l’Ordre
des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l’Univers », dont Martinès était le Grand
Souverain, venait d’installer à l’équinoxe de printemps à l’Orient de
Versailles sa plus haute instance, c’est-à-dire son « Tribunal Souverain ». À
compter de cette date, Jean-Baptiste Willermoz va découvrir auprès de
Martinès, jusqu’en septembre 1774 où ce dernier quitta ce monde à Port-au-
Prince, un ambitieux programme visant à la « réintégration des êtres dans
leurs premières propriétés, vertus et puissance spirituelles divines », de
même qu’une doctrine spirituelle absolument originale, gravissant tous les
degrés initiatiques jusqu’à celui, ultime, de Réaux-Croix, trouvant dans «
l’Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l’Univers », ce qu’il avait
toujours attendu en matière de connaissances, et de surcroît la confirmation
de ses espérances à propos des « mystères » subsistant au sein de la franc-
maçonnerie.
(1730-1824) et Martinès de Pasqually (+ 1774) débute en avril 1767, année où
les deux hommes vont se rencontrer, lors de la réception dans l’Ordre des Élus
Coëns du futur fondateur du « Régime Écossais Rectifié », époque où « l’Ordre
des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l’Univers », dont Martinès était le Grand
Souverain, venait d’installer à l’équinoxe de printemps à l’Orient de
Versailles sa plus haute instance, c’est-à-dire son « Tribunal Souverain ». À
compter de cette date, Jean-Baptiste Willermoz va découvrir auprès de
Martinès, jusqu’en septembre 1774 où ce dernier quitta ce monde à Port-au-
Prince, un ambitieux programme visant à la « réintégration des êtres dans
leurs premières propriétés, vertus et puissance spirituelles divines », de
même qu’une doctrine spirituelle absolument originale, gravissant tous les
degrés initiatiques jusqu’à celui, ultime, de Réaux-Croix, trouvant dans «
l’Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l’Univers », ce qu’il avait
toujours attendu en matière de connaissances, et de surcroît la confirmation
de ses espérances à propos des « mystères » subsistant au sein de la franc-
maçonnerie.
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