- EAN13
- 9782354190637
- ISBN
- 978-2-35419-063-7
- Éditeur
- Enfants rouges
- Date de publication
- 14/11/2013
- Collection
- ISTURIALE
- Nombre de pages
- 156
- Dimensions
- 2,4 x 1,7 x 0,2 cm
- Poids
- 464 g
- Fiches UNIMARC
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Un récit graphique basé sur une histoire vraie. Ce témoignage évoque l’histoire d’une séparation entre un homme et son fils adoptif. En novembre 2012, Bernard Valgaeren entamait une grève de la faim à Sanary sur Mer (83), installé sous une tente dans le kiosque à musique du petit port. Il protestait contre une décision du gouvernement qui lui refusait l’obtention d’un visa pour faire venir en France son fils adoptif du Burkina Faso, Jean-Eudes.
Jean-Marc Pontier/ Bernard Valgaeren
Lors d’un séjour à Ouagadougou en 2003 pour aider à la construction d’un orphelinat, Bernard fait la rencontre d’un enfant qui lui demande : « Je veux que tu sois mon papa » (Jean-Eudes avait 7 ans). Bernard adopte le petit et tout semble aller bien du point de vue administratif jusqu’à ce qu’on trouve une faille dans le dossier : la monoparentalité de Bernard. Or, Bernard est gay : sans que ce ne soit jamais mentionné, on comprend que c’est là que se cache le motif du refus.
La narration de Jean Eudes oscille entre le kiosque de Sanary et la rétrospection africaine, permettant au lecteur de naviguer entre l’actualité de la grève de la faim et l’historique des événements. Deux voix se succèdent, celle d’un premier narrateur (Jean-Marc, plus objectif) et celle de Bernard, directement impliqué dans le récit. Cette double voix complémentaire donne au récit toute sa richesse narrative.
Jean-Marc Pontier/ Bernard Valgaeren
Lors d’un séjour à Ouagadougou en 2003 pour aider à la construction d’un orphelinat, Bernard fait la rencontre d’un enfant qui lui demande : « Je veux que tu sois mon papa » (Jean-Eudes avait 7 ans). Bernard adopte le petit et tout semble aller bien du point de vue administratif jusqu’à ce qu’on trouve une faille dans le dossier : la monoparentalité de Bernard. Or, Bernard est gay : sans que ce ne soit jamais mentionné, on comprend que c’est là que se cache le motif du refus.
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