- EAN13
- 9791032915172
- Éditeur
- Éditions de l'Observatoire
- Date de publication
- 16/02/2022
- Collection
- La Relève
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
«?Ça commence parfois par une inquiétude ou un malaise. On se sent en
décalage, on craint d’agir de manière déplacée. On a le sentiment de ne pas
“être à sa place”. Mais qu’est-ce qu’être à sa place, dans sa famille, son
couple, son travail ? Quels sont les espaces, réels ou symboliques, qui nous
accueillent ou nous rejettent ? Faut-il tenter de conquérir les places qui
nous sont interdites, à cause de notre genre, notre handicap, notre âge, notre
origine ethnique ou sociale ? Peut-être faut-il transformer ces lieux de
l’intérieur et s’y créer une place à soi ??» Dans cet ouvrage aussi
passionnant que sensible, la philosophe Claire Marin explore toutes les places
que nous occupons – quotidiennement, volontairement ou contre notre gré,
celles que nous avons perdues, celles que nous redoutons de perdre – et
interroge ce qui est à la fois la formulation d’un désir personnel et un
nouvel impératif social. Encore reste-t-il à savoir si l’on finit tous par
trouver une place, ou si le propre d’une place n’est pas plutôt de sans cesse
se déplacer, ou de déplacer celui qui croit pouvoir s’y installer…
décalage, on craint d’agir de manière déplacée. On a le sentiment de ne pas
“être à sa place”. Mais qu’est-ce qu’être à sa place, dans sa famille, son
couple, son travail ? Quels sont les espaces, réels ou symboliques, qui nous
accueillent ou nous rejettent ? Faut-il tenter de conquérir les places qui
nous sont interdites, à cause de notre genre, notre handicap, notre âge, notre
origine ethnique ou sociale ? Peut-être faut-il transformer ces lieux de
l’intérieur et s’y créer une place à soi ??» Dans cet ouvrage aussi
passionnant que sensible, la philosophe Claire Marin explore toutes les places
que nous occupons – quotidiennement, volontairement ou contre notre gré,
celles que nous avons perdues, celles que nous redoutons de perdre – et
interroge ce qui est à la fois la formulation d’un désir personnel et un
nouvel impératif social. Encore reste-t-il à savoir si l’on finit tous par
trouver une place, ou si le propre d’une place n’est pas plutôt de sans cesse
se déplacer, ou de déplacer celui qui croit pouvoir s’y installer…
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